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| | SYBIL † Making the Devil dance. | |
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Invité Invité | Sujet: SYBIL † Making the Devil dance. Sam 16 Jan - 20:01 | |
| Sybil Vane Frissonant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Près de l'époux qui lui servit d'amant (…)
Nom elle le crie, elle l’écrit et le fait savoir aux passants ; c’est une manière de prouver qu’elle respire encore, de montrer sa haine pour le silence. Et pourtant, Vane, c’est assez triste à porter. Dans un souffle, ça ressemble à « vain », la promesse certaine d’une glorieuse tragédie. Mais il faut faire oublier celui de l’autre, alors on le crie et on oublie ce funeste présage inscrit dans le nom. Prénom(s) elle n’en a qu’un et il sonne clair, simple et limpide ; nulle trace d’usurpation ou de mystère là-dessous. On le crie moins facilement, mais son murmure en est d’autant plus beau. La fatalité ne s’entend plus lorsqu’elle tente par tous les moyens d’y donner vie et certains laissent glisser un sourire lorsqu’ils le prononcent. Sybil. Âge elle vous regarde et il est impossible d’y échapper. C’est écrit sur ses papiers, son visage même lui donne 25 ans ; vous croyez lire qu’elle en aura 26 cette année. Pourtant, ses yeux noirs sont tachés de cette violence qui se voile par la fatigue et parfois, elle vous répondra qu’il lui a bien fallu une trentaine d’années pour connaître ce sentiment. Profession tous les jours, tous les soirs, elle chante pour gagner sa vie. Sa voix s’éraille lorsqu’elle rejoint sa chambre parce qu’elle ne la domestique pas encore ; cette amie qui lui permet de gagner sa vie lui est souvent étrangère. Les gens du cabaret sont gras et sales, mais leurs visages sont doux lorsqu’ils entendent Sybil. Ils sourient dans l’espoir de voir disparaître l’odeur du port qui leur colle aux vêtements ou pour les plus chanceux, l’argile rouge sous leurs semelles. Béats de parfois voir Sybil danser, ils rêvent d’un ailleurs. Orientation sexuelle de temps à autre, les mains des femmes s’effleurent dans un soupir. C’est alors l’échine qui se dresse et les paupières qui se baissent dans l’attente d’en connaître davantage. Les hommes ont pourtant souvent gouverné la vie de Sybil : leurs sourires, leurs rires et leurs parfums lui tordent le cœur d’un désir sans nom. Mais les femmes attirent vers elle l’ébauche de fantasmes inconnus ; elle les désire de manière physique sans savoir si elle pourra les aimer un jour. Situation maritale ce pouce qui caresse parfois l’annulaire gauche à la recherche d’un anneau disparu tandis que les yeux sont déjà perdus au loin ; on dirait un réflexe et c’en est un. Lorsque l’esprit vagabonde un instant, d’anciens mécanismes prennent le dessus et la signification du mot mariage revient assaillir les pensées. Ce monstre que l’on nomme mariage, Sybil y a goûté, deux fois. L’un est inconnu, à peine un nom inscrit sur quelques feuilles volantes ; l’autre a laissé une plaie béante dans sa poitrine et l’assaille d’une vague promesse abandonnée. Situation financière les rats qui viennent mordiller les souliers de cuir ne l’ont jamais dérangé ; ils ont grandi avec elle. Elle vivait pauvrement avant sa fuite dans laquelle elle entraîna le corps d’une femme, sa beauté, ses bijoux, ses robes et d’autres richesses revendues au fil des jours. Consciencieuse comme tous les pauvres qui connaissent doucement les plaisirs de l’argent, elle dépense sans excès, économise sans avarice, vit dans un triste confort. Elle a gardé quelques robes volées à l’autre et ses doigts glissent souvent sur les étoffes cachées de tout regard ; rangées, elle prend soin d’user seulement des habits qui la fondent dans la masse. L’argent, les précieuses piécettes censées dicter sa vie, sont dépensées dans le paiement de sa chambre et le peu de nourriture qu’elle mange pour faire survivre son enveloppe charnelle. Race les âmes dévorées, les sourires dévorants ; Sybil est un démon triomphant dans le festin offert par son hôtesse humaine. Elle a grignoté chaque parcelle de cette âme et en est désormais l’esprit possesseur. Groupe Glorious Horrors. Avatar Winona Ryder. Caractère Il y a des verres qui se brisent, des miroirs qui se fracassent et des griffures partout sur les toiles déchirées et éparpillées au sol. Impossible de prédire cet accès de folie il y a pourtant quelques minutes de cela. Il y avait ce miroir, voyez-vous. Et cette grimace, voyez-vous. Et le monde entier qui perd toute logique, et le cœur qui s’emporte face à ce qui ne nous appartient pas. Instable, certainement ; folle peut-être. Mais surtout cette infinie fragilité qui gonfle avant d’exploser. Car face à tant d’hystérie, il faut bien que les larmes coulent au milieu des éclats de verre. Ces gouttes méritent de pouvoir être séchées, mais les mains mêmes ne ressemblent à rien de connu. Elles appartiennent à la monstruosité qui l’enserre et qu’elle se bat pour embrasser. D’autres mains devraient pouvoir la relever, essuyer ces sanglots, l’enlacer indéfiniment et répondre à ce désir qui la brûle. Connaître une quiétude éternelle, enfin, et se lover dans la douceur de l’amour autrefois goûté. Pour l’instant, elle ne connaît que le chaos. Le chaos et l’amertume de l’abandon, de celles qui désespèrent et exultent à la fois. Repenser à lui, c’est se souvenir de sa propre sottise, celle de l’avoir laissé l’approcher et celle de ne pas avoir été assez forte pour éviter le plongeon vers la mort. Elle veut être de nouveau aimée par ses beaux yeux et oublier cette folie qui la ronge. Doucement, elle ramasse les bouts de verres éclatés et tente de les recoller comme son esprit incapable de saisir l'harmonie de ce qui l’entoure. Pour quelques instants, elle retrouve le calme illusoire accordé à son esprit ; dans quelques instants, l’angoisse déchirera sa raison, encore. Questionnaire Quelle est votre opinion sur les créatures surnaturelles ? Mythes ou réalité ? Il y avait ces contes, ces légendes et ces… Murmures. Des portes qui se ferment seules, des bougies éteintes sans le moindre courant d’air… Des paroles de vieilles femmes. Je n’y aurais pas cru un seul instant, même si, enfant, j’étais avide d’en connaître davantage. Au final, regardez-moi : une ombre qui a dû lutter pour trouver une moindre consistance après sa mort. Je suis de ces mythes qui s’énoncent du bout des lèvres, de ces horreurs qui entrent dans le folklore des chaumières. Que d’autres monstres existent ne me surprendrait pas. Êtes-vous croyant ? Superstitieux ? Croyez-vous à une vie après la mort ? Ah ! La vie après la mort ; quelle belle idée ! Elle devait me porter vers les anges et la lumière, elle devait me faire connaître la signification du mot « paisible ». Au lieu de ça, j’ai découvert le silencieux écho de nos prières ; les mots que nous murmurons les mains jointes, ne sont qu’illusions. Alors oui, j’ai goûté à la foi, mais voyez ce qu’elle m’a fait faire, voyez ce que je suis devenue. Si fautifs il doit y avoir, le Tout-Puissant en fait certainement partie ; je crains la religion et la superstition comme je les méprise. Quelle est votre opinion sur la société actuelle ? Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez voir changer ? On m’a appris à être à ma place, à ne pas bouger des classes les plus pauvres et à me taire comme des milliers d’autres gens. Je ne peux rien faire contre ça, pensez-vous. L’autre m’a offert quelques-unes de ses richesses, mais au fond, il m’est impossible d’atteindre le haut de cette bourgeoisie indolente. Je me fonds avec les autres visages de suie sans rien connaître du luxe et je reste muette face à mon dégoût pour les classes que l’on désigne comme « dominantes » ; si je devais changer quelque chose, il y aurait forcément des choses à brûler de ce côté-ci. Pseudonyme Balulalow. Prénom en six lettres, rime avec lumière. Age 19 ans. Présence variable, j’essaye de passer tous les jours vous faire des bisous et les rps vont et viennent avec l’inspiration et surtout selon mon emploi du temps. Découverte du forum le projet Bazzart m’avait déjà fait de l’œil et puis j’attendais d’avoir une idée de personnage… Avant que Dorian ne poste ce scénario. Avis sur le forum MERCI ! Je cherche et recherche un forum sur le XIXème depuis trop longtemps déjà. Les annexes, le contexte, les plumes… Vous m’avez l’air d’être de beaux petits filous. Crédits Eden Memories pour les avas ; Pathos pour les icons. Mot de la fin VOTRE NOUVELLE VERSION EST ABSOLUMENT SUBLIME ! Voilà, c’est dit. Je comptais attendre un peu plus avant de m’inscrire, mais je n’y tiens plus. C’te merveilleuse MAJ fait de l’effet ; j’aime beaucoup l’alliance design clair/contexte sombre, ça rend très bien. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Sam 16 Jan - 20:02 | |
| Les morts vont vite (...) Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment.
Mon histoire Le rideau se lève et une grande inspiration le suit. Les mains se font légèrement tremblantes et pour cause: dans quelques minutes, elle connaîtra le silence de la scène et l’exaltation du théâtre. Elle se penche, regarde vers les spectateurs pour apercevoir celui qu’elle espérait revoir. Trois jours. Peut-être quatre. Les nuits se sont faites plus longues depuis qu’il ne vient plus lui rendre visite. La vie semble s’arrêter comme cette horloge dans les coulisses, celle dont la trotteuse est animée par l’hésitation de la panne. Sybil était belle et naïve ; elle ne sentait pas le spectre de la terrible Humiliation souffler dans son dos. Sous le masque d’une autre, sous le masque de la Capulet, on la trouvait encore plus belle ; il était invraisemblable de vouloir briser l’innocence qui la parait tous les jours. Sybil était cette fleur rose et fragile, dépourvue d’épines et souriant au monde. Les larmes de Juliette n’étaient pas les siennes, jamais elles ne devaient l’être. Son Prince devait les empêcher de couler, toujours. Alors lorsque les applaudissements retentissent dans la salle, il est impensable de ne pas entendre ceux de son Prince au-delà de tout le vacarme. Il devrait être là. L’encenser comme les autres et la rendre si particulière dans l’amour qu’ils partageaient alors. Las, Sybil retourne dans sa loge, suivie discrètement par l’ombre de sa passion. Et les deux heures qui suivent, deviennent celles de son univers qui s’émiette. Quelques paroles, à peine deux phrases, mais surtout cette grimace. Du dégoût pour ce visage, son propre visage, celui qu’il aimait. Les sanglots offrent certainement un spectacle pathétique, du mauvais théâtre même, mais aux yeux de Sybil tout ceci ne pouvait être qu’une farce. Il se joue d’elle, il l’aime, il l’a dit. Serait-ce une autre ? Sa condition ? Nous étions beaux ensemble, deux orphelins promis à vivre comme des rois. Au fond, notre amour m’avait fait respirer à nouveau. Tout a commencé lorsque tu m’as vu jouer Juliette ; j’étais devenue quelqu’un pour quelqu’un d’autre. Tu te souviens de ça, n’est-ce pas ? Alors quoi ? La niaiserie ? Oui, c’est ça. Non ce n’est pas ça, ce sont ces amis, ces autres sourires qui te murmurent des choses et qui te font goûter au vice. Ce sont ces serpents qui te glissent vers ces marais de dégoût pour ce que tu aimais autrefois. Mon Prince. La porte s’est déjà fermée depuis longtemps et le silence a empli la pièce. Ne restent que des larmes désormais silencieuses et qui deviennent de plus en plus amères à mesure que la solitude drape la Juliette. Le poison a fait son effet ; elle mourra demain. La seule certitude que la Mort donne aux malheureux, est que son plus grand rôle consiste à enlacer la vie comme une vieille amie. Le visage qu’elle prend ne change pas grand-chose à sa victoire : le corps a beau se convulser sous les effets du venin, il a beau lutter pour se raccrocher à la moindre goutte d’existence, la promesse du tombeau a déjà piétiné le cœur et capturé la vie. L’âme se donne, doucement, dans une dernière étreinte à l’érotisme macabre. Elle est l’ultime maîtresse des Juliette et des Sybil ; pour elles, elle devient l’élégante silhouette de la suffocation amoureuse. Pour toujours, elle devenait l’épouse de ces deux tragédies… Avant de se rire de l’une d’elles. C’est effrayant de se réveiller dans un autre corps. Le retour à la vie avait rapidement pris la forme d’une trahison contre la recherche du silence éternel. La douleur se dessine d’abord comme un léger picotement, puis comme une petite brûlure par une petite flamme. Mais à mesure que l’éveil devient complet, c’est un brasier qui tourmente le corps étranger, au point de le brûler complètement. Sybil ne sait pas très bien pourquoi, ni même comment elle s’est retrouvée là, dans ce lit aux draps rouges de sang, mais elle a rapidement compris ce qu’elle devait faire. Ce n’était pas elle, ce n’était pas sa voix qui criait, ce n’était pas vraiment son sang. Alors, vite, elle se décide à partir, loin. Eviter les regards pétrifiés de terreur, de dégoût et de panique. Se muer dans la brume, redevenir une ombre, retrouver la mort peut-être. Ce n’est que lorsqu’elle pose le pied hors du lit qu’elle se souvient des années, quatre plus précisément, à se battre pour obtenir ce précieux réceptacle qu’est le corps de Constance Lloyd. Trop parfaite cette Constance, trop aimante, trop pleine de vie, trop riche ; il lui fallait du tourment. Il lui fallait perdre sa raison, ce corps et cet amour par lequel elle pensait échapper à l’emprise de Sybil. Ah ! mais l’amour ne libère pas, il fait doucement pourrir, la pauvre, elle n’avait pas compris ; Sybil lui montrerait. Pour l’instant il fallait partir, prendre quelques affaires dans cette grande malle qui n’avait jamais été faite pour être remplie et ces robes à jamais faites pour être contemplées. « Je pars en voyage. », avait-elle répondu aux domestiques qu’elle avait croisés dans la demeure récemment acquise par l’autre. Animée par la rancœur et la volonté de rester un peu plus en vie, je m’en vais loin de cette existence qui ne m’aurait jamais convenue. Dîtes au mari qu’il y avait tout de même de l’amour dans ce que nous avons vécu. Pensez aussi à changer les draps. Ne vous inquiétez pas pour l’enfant ; lui est plus tranquille que nous ne le serons jamais. Ce fut fait, elle partit. Bien sûr, il existait toujours cette douleur piquante au bas ventre qui lui rappelait le prix à payer lorsque l’on achève une mère et son enfant. Bien sûr, le visage reste un étranger ; sa voix même sera cette éternelle anonyme qu’elle tente de maîtriser tous les jours afin de connaître le même frisson de la scène. Et bien sûr, ces crises où les silhouettes se tordent, ressemblent à celles que l’on voit après que la Mort nous a enserrés une première fois. Elles sont laides, vous sifflent des injures, vous promettent des mensonges, vous ordonnent de rejoindre votre frère et vous somment de l’embrasser, ce frère que vous avez tant aimé et qui vous aimez tant, celui qui est mort. Alors oui, son propre visage se tord parfois lui aussi et le désir de l’arracher pour le faire disparaître réapparaît. Mais ce ne sont que de courts instants qui, après avoir disparu, donnent l’illusion de n’avoir jamais existé. Ne reste que cette immense solitude, ce désir de vivre et cette violence qui l’anime et l’entraîne vers un souvenir qu’elle fait semblant d’ignorer. Il est celui qui lui a tendu la fiole de poison et qui a asséné sur ses épaules une seconde tragédie, celle qu’elle s’apprête à jouer devant vous. Lever de rideau, grande inspiration et mains légèrement tremblantes ; la Juliette n’a jamais été aussi belle que relevée du drame de la passion. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Sam 16 Jan - 20:36 | |
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Sam 16 Jan - 20:56 | |
| Bienvenue Tout comme Van Helsing, je suis impressionnée par ta plume ! :O J'ai vraiment hâte de lire le reste de ta fiche, les informations sont vraiment très agréable à lire. A bientôt en rp ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Sam 16 Jan - 21:26 | |
| Belle plume, bel avatar, superbe scénario, j'ai envie de dire JACKPOT Hellcome chez les filous car oui nous sommes des filous et je te souhaite bon courage pour la suite de ta fiche ma jolie |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 12:47 | |
| Abraham > /zieute le personnage /zieute le pseudo... Attends. Toi et moi, on se connaît, non ? /va vérifier. Ah voui, on se connaît. Coucou Cin', c'est Irene à l'appareil.En tout cas, contente de te revoir par ici et merci beaucoup pour le compliment ! Sherlock & Evangeline > merci infiniment à vous deux, vos personnages m'ont l'air tout aussi hjkfdfb. Heureuse de savoir que vous êtes bel et bien des petits filous. Enfin bref, je me confonds en remerciements, mais vos compliments me font vraiment chaud au cœur. Et maintenant, comment je fais si le reste ne vous plaît pas ? |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 13:18 | |
| OMFG, tu m'étonnes que j'aime ton écriture alors. Je suis super contente de te voir par ici, cet univers est juste parfait pour compléter l'autre. (Puis là Abe n'aura pas peur de Sybil comme Cin d'Irene *PAN* ) J'ai d'autant plus hâte de lire la fin alors et il nous faudra absolument un lien. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 17:05 | |
| Oh toi, alors. Je me sens toute chose. Par contre, je ne sais pas si Abe devrait ne pas avoir peur de ma petite Sybil, elle cache bien son jeu. Bon, en même temps, Van Helsing, quoi. Plus rien ne doit surprendre le vieux sage. Et le lien sera avec plaisir ! On se trouvera bien un petit quelque chose. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 18:48 | |
| Comme ils sont beaux, tes mots. Puis Winona quoi. Bienvenue ici et fight pour le reste de ta fiche. |
| | | The Road ADMINISTRATRICE ‹ MESSAGES : 296 ‹ DATE D'ARRIVÉE : 07/11/2015 ‹ PSEUDO : the road. ‹ CRÉDITS : betsy. (bazzart) | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 20:50 | |
| Quel personnage, quelle plume. Je suis fan. Bienvenue sur le forum et bon courage pour le reste de ta fiche. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 17 Jan - 22:53 | |
| Alice > Merci beaucoup ! Et Louise Bourgoin en Alice, quelle merveilleuse idée ! Tes mots sont tout aussi jolis. Mira > Cate. Vous me tuez avec vos brillants choix d'avatars. En tout cas, merci des compliments ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Lun 18 Jan - 11:52 | |
| Bienvenue sur le forum ! Comme tous j'admire et apprécie ta plume ! Bon courage pour le reste de ta fiche ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Lun 18 Jan - 17:35 | |
| Bienvenue et super choix |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Lun 18 Jan - 17:36 | |
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Lun 18 Jan - 19:11 | |
| Merci beaucoup à vous trois, beaux mâââles. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Mar 19 Jan - 12:29 | |
| qu'elle est belle ! biienvenue par ici |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Mar 19 Jan - 18:10 | |
| Ouh, je te retourne le compliment, bella ! Merci beaucoup ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Mer 20 Jan - 19:32 | |
| Je manque à tout mes devoirs! *fais le ménage et dépose un beau corps décomposé encore fumant à l'odeur acre* Voilà ma douce! Bienvenue à la maison! Sans flatterie aucune, j'suis vraiment contente que tu ai chopé ce scénario, ta plume est très plaisante à lire!
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Mer 20 Jan - 20:29 | |
| Holalalala une possédée !!! J'adore tellement ce type de personnage...
Tu me plais déjà XD Bonne chance pour ta fiche ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Mer 20 Jan - 22:23 | |
| Dorian > /regarde le cadavre avec suspicion. La prochaine fois, ramène des fleurs ou des chocolats, bon sang ! Et puis, on avait dit "pas de cadavres devant tout le monde"… Merci du compliment darling ; j'espère que le reste de la fichette te plaira. Juniper > L'association des amis possédés te dit merci ! J'espère que le reste te plaira aussi. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Jeu 21 Jan - 15:28 | |
| Bon. Je suis teasée, je suis hypée, je guette la suite de ta fiche. Bienvenue parmi nous, Sybil. Et Winona est tellement rare, je trouve...ça fait plaisir de la voir |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Jeu 21 Jan - 18:56 | |
| Aaaah, mais Mary Ann, si tu savais tout l'amour que je porte à Eva Green. Je veillerai à ce que le reste ne te déçoive pas. pressioooonEn tout cas, merci beaucoup de l'accueil ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Ven 22 Jan - 10:45 | |
| Alors normalement si tu l’arrose régulièrement il peut y avoir des champignons qui y poussent, c'est pas des fleurs ni des chocolats mais c'est comestible! (ouais j'ai trop maté Hannibal) |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Ven 22 Jan - 21:41 | |
| En gros, tu essayes de me refiler des champignons hallucinogènes... Tss tss, Dorian, il me faut bien plus, tu le sais bien ! Par contre, si tu veux lancer un réseau de champipi à faire tourner dans Crimson Peak, pas de soucis ! |
| | | The Road ADMINISTRATRICE ‹ MESSAGES : 296 ‹ DATE D'ARRIVÉE : 07/11/2015 ‹ PSEUDO : the road. ‹ CRÉDITS : betsy. (bazzart) | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. Dim 24 Jan - 12:41 | |
| Ta fiche est sublime, c'est tout bon pour moi. J'aime vraiment ton style d'écriture, toutefois, il me faut l'avis de Dodo avant de te valider. |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: SYBIL † Making the Devil dance. | |
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| | | | SYBIL † Making the Devil dance. | |
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